I.
La nuit le corps ne se reconnaît plus
En chien de fusil le bras sur les yeux
tes os penses-y -- en bataille
II.
Sous tes paumes tes flancs s'élargissent
Liberté ô royaume -- qui charrie ton sang
La nuit le corps ne se reconnaît plus
III.
La nuit le corps ne se reconnaît plus
Estuaires au pli de ton coude -- deltas aines
si accueillants au reflux de tes nerfs
IV.
Dissoutes dans le tiède où sont tes frontières
-- au-delà des territoires où ta pensée t'égare
La nuit le corps ne se reconnaît plus
2 commentaires:
Bon ben comme prévu j'ai adoré :D ça coule tout seul, c'est superbe...
Merci ! ^__^
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