Hommage à Maurice Béjart, avec Sylvie Guillem et le Ballet de Tokyo.
Oui, je ne manque jamais une occasion de voir des Japonais en débardeur (et là, bonus ! Ils étaient torse nu !)
Mais bon, je tiens à préciser que même avec le ballet de Lausanne, j'y serais allée, car Sylvie Guillem, quand même. L'honneur est (vaguement) sauf.
Il faut avouer que j'ai été plutôt rétive au charme du Sacre du Printemps et de Gagaku. Mais Le Boléro ! Je trouve qu'il faut un courage colossal pour monter sur une table rouge, au milieu d'une trentaine d'hommes, pour danser -- et donner au Boléro, pourtant usé jusqu'à la trame, tant de puissance.
Et puis c'était à Versailles, sur le Bassin de Neptune... j'aime bien les spectacles en plein air, malgré la rosée, le froid et les sièges inconfortables. Mais...
même seule en pleine lumière,
la danseuse ne parvient pas
à faire oublier l'oiseau
qui prend son envol
dans le soir qui tombe
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire