[Avertissement : cette note est d'une futilité radicale et absolue. Si vous cherchez des infos sérieuses, ou un point de vue éclairé sur la main ou l'un de ses composants, vous feriez mieux d'aller ici.]
Bon. Donc, quand je me maquille les paupières, j'utilise le plus souvent des pinceaux de tailles diverses et variées, pour faire des traits fins, pour faire des traits épais, pour faire des aplats, pour mélanger, et ainsi de suite. Mais pour estomper, quand même, il n'y a pas mieux que les doigts -- surtout pour les ombres un peu brillantes/pailletées, ça donne un aspect tout velouté-fumé-terni assez sympa.
Bref, tout ça pour dire que l'autre jour, je me suis soudain rendu compte que quand j'estompe au doigt, c'est toujours avec l'annulaire. Le lendemain, j'ai essayé avec l'index, juste pour voir -- mais ça n'allait pas, et le temps de passer à l'autre oeil, inconsciemment, j'en étais revenue à l'annulaire. Ca m'intriguait, tout de même.
Et ce week-end, que ne lis-je pas dans un quelconque magazine féminin ? Pour appliquer je ne sais quelle crème anti-rides au coin des yeux, l'article recommandait d'utiliser l'annulaire car c'est le doigt le moins fort, et par conséquent celui qui exerce la pression la plus délicate sur cette zone fragile.
Stupéfiant, non ? Mes mains, instinctivement, savent ce qui convient le mieux à mes paupières ! Ca alors !
[Je vous avais prévenus au début, hein ! Je ne veux rien entendre !]
2 commentaires:
In hin hin je t'ai reconnue sur la commentoblogosphère.
Marion (très en forme aujourd'hui. Vivement demain)
héhéhé ouais, mais carrément elle m'a remontée le moral, faut dire !
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