Aujourd'hui dans la montagne,
le vent
l'or et le sang
"Règle générale, j'ai rapporté ce que j'avais observé de curieux dans le monde ; mais j'ai choisi, de même, ce qui me semblait de nature à montrer la splendeur des hommes, et j'ai parlé encore des poésies, des arbres, des herbes, des oiseaux et des insectes." -- Sei Shônagon, Notes de Chevet
dimanche 26 octobre 2008
vendredi 24 octobre 2008
mardi 21 octobre 2008
171. A part ça...
lundi 20 octobre 2008
170. Ca, c'est fait
A peine 24 heures à Tokyo et déjà
un salaryman épuisé s'est endormi
la tête sur mon épaule
samedi 18 octobre 2008
169. Bon ben...
Je pars au Japon, là. Donc je ne sais pas trop quand sera le prochain post... mais en attendant, une chose vaut la peine d'être notée : contrairement aux deux derniers voyages, je n'ai pas besoin d'une valise entière rien que pour la pharmacie. Ca fait drôôôôôôôôle...
Allez, à la prochaine !
jeudi 16 octobre 2008
168. 10 signes qu'on est très fatiguée
- On a envie de se recoucher alors qu'on n'est même pas encore levée.
- Quand on se lave, on met du shampooing sur le gant de toilette, au lieu de gel-douche.
- Tout est flou, flou, flou.
- On s'endort dans le métro en bavant, comme le clochard qui est justement affalé deux rangées devant.
- On tape le code de sa carte bleue sur le digicode de l'immeuble.
- Pas découragée par l'expérience, on reste toute benête devant l'ascenseur en se demandant où on passe sa Carte Orange pour entrer.
- On a des envies de violence physique à la moindre personne qui vous grille la priorité dans la file à la Poste.
- On se met à pleurer à gros sanglots parce qu'il n'y a plus de crème pour se faire des carbonaraaaaaaaaaaa.
- On pousse des soupirs, oh là là, des soupirs...
- On essaie vainement d'enlever ces traces de mascara, là, sous les yeux -- avant de se rendre compte que ce sont en fait des cernes.
Et tout ça en une seule journée.
mardi 14 octobre 2008
167. A part ça... [Edit "moi faut pas me chercher"]
Les plombiers ont terminé les travaux dans la cuisine. Avoir un double évier, c'est cool. Avoir un double évier avec un robinet qui alimente les deux bacs, ça doit être vraiment cool.
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Edit à la demande générale, illustration en deux schémas explicatifs :
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Cas de figure A : la théorie
Cas de figure B : la pratique
lundi 13 octobre 2008
dimanche 12 octobre 2008
165. The lonely song
But
This is worrying
this nothing this void this
Once I relished it
loneliness and silence
a need
it has escaped me
though still
necessary and wholesome
it is out of control it is beyond
And
I am silent now
mardi 7 octobre 2008
164. Random fact: l'annulaire
[Avertissement : cette note est d'une futilité radicale et absolue. Si vous cherchez des infos sérieuses, ou un point de vue éclairé sur la main ou l'un de ses composants, vous feriez mieux d'aller ici.]
Bon. Donc, quand je me maquille les paupières, j'utilise le plus souvent des pinceaux de tailles diverses et variées, pour faire des traits fins, pour faire des traits épais, pour faire des aplats, pour mélanger, et ainsi de suite. Mais pour estomper, quand même, il n'y a pas mieux que les doigts -- surtout pour les ombres un peu brillantes/pailletées, ça donne un aspect tout velouté-fumé-terni assez sympa.
Bref, tout ça pour dire que l'autre jour, je me suis soudain rendu compte que quand j'estompe au doigt, c'est toujours avec l'annulaire. Le lendemain, j'ai essayé avec l'index, juste pour voir -- mais ça n'allait pas, et le temps de passer à l'autre oeil, inconsciemment, j'en étais revenue à l'annulaire. Ca m'intriguait, tout de même.
Et ce week-end, que ne lis-je pas dans un quelconque magazine féminin ? Pour appliquer je ne sais quelle crème anti-rides au coin des yeux, l'article recommandait d'utiliser l'annulaire car c'est le doigt le moins fort, et par conséquent celui qui exerce la pression la plus délicate sur cette zone fragile.
Stupéfiant, non ? Mes mains, instinctivement, savent ce qui convient le mieux à mes paupières ! Ca alors !
[Je vous avais prévenus au début, hein ! Je ne veux rien entendre !]
vendredi 3 octobre 2008
163. As I fall asleep
And what will these images become,
startled from oblivion
by my reluctant memory?
Will they hover beneath the surface --
Are they shadows
ghostly wraiths
or plain cobwebs, half-forgotten?
Will they sink in the end?
Down under
where so many others lie
silent, undisturbed,
and yet not so --
Or shall restful sleep enfold them
till the end of my time?
jeudi 2 octobre 2008
162. Routine
As my thoughts stumble
along a too well-trodden path
I suddenly find a new stone
in my way
I leave it unturned
and go on to my
business as usual