Deux heures maintenant que quelqu'un, dans l'immeuble, passe la ponceuse ou que sais-je. Deux heures d'affilée de zonzonnement strident -- je compte les minutes. J'en peux plus. Et une heure à tenir avant d'atteindre l'horaire syndical pour partir.
(Oui je sais, ça n'a rien à faire sur ce blog, mais j'en ai MARRE. Fallait que j'en parle).