Drowning in slate
and spiked with broken pearls
-- night on the mountains
"Règle générale, j'ai rapporté ce que j'avais observé de curieux dans le monde ; mais j'ai choisi, de même, ce qui me semblait de nature à montrer la splendeur des hommes, et j'ai parlé encore des poésies, des arbres, des herbes, des oiseaux et des insectes." -- Sei Shônagon, Notes de Chevet
vendredi 30 décembre 2011
mercredi 21 décembre 2011
537. How to be Alone
How to be Alone
Johathan Franzen
Ed. Fourth Estate
A genuine public space is a place where every citizen is welcome to be present and where the purely private is excluded or restricted. One reason that attendance at art museums has soared in the recent years is that museums still feel public in this way. After those tangled sheets, how delicious the enforced decorum and the hush, the absence of in-your-face consumerism. How sweet the promenading, the seeing and being seen. Everybody needs a promenade sometimes -- a place to go when you want to announce to the world (not the little world of friends and family but the big world, the real world) that you have a new suit, or that you're in love, or that you suddenly realize you stand a full inch taller when you don't hunch your shoulders.
La dernière fois que je suis allée chez WH Smith, je me suis dit "cette fois-ci, prends quelque chose que tu n'as jamais lu, quelque chose d'intelligent". C'est ainsi que je suis tombée sur ce bouquin.
Normalement, Franzen, ce n'est pas mon truc -- j'ai essayé de lire The Corrections, que j'ai laissé tomber au bout de quelques lignes. (Parfois, je me demande si je n'aime pas uniquement les écrivains femme, c'est étrange).
En tout cas, le titre de ce recueil d'articles et d'essais a retenu mon attention, et je ne regrette pas : c'est malin, très très bien vu, et c'est une critique intéressante du 21ème siècle. Franzen y parle de tout et de rien : la vie privée, les cigarettes, Alzheimer, la poste de Chicago... et dresse un portrait net, clair et sans appel de nos sociétés occidentales. Une lecture pour ouvrir un peu la réflexion.
dimanche 18 décembre 2011
536. Après une conférence sur les supernovae
Why all the fuss about time-travel
when looking at a star takes you back
four billion years?
mardi 13 décembre 2011
535. Random fact: lonely
Apparemment, le mot lonely a été inventé par William Shakespeare. Je me demande comment on disait avant : alone ? Lone tout court ? Solitary, en utilisant la racine latine plutôt que saxonne ? Je me demande aussi comment on découvre ce genre de chose.
Shakespeare aurait ainsi créé 2 000 nouveaux mots, comme zany, ou horrid, par exemple.
(Et peut-être bien zounds -- mais ça, c'est moi qui le dis, et non pas Intelligent Life, dont j'ai tiré ces infos).
dimanche 11 décembre 2011
534. Beginning is difficult
I want to write about writing
Having said that, I sit
for half an hour
-- disabled
vendredi 9 décembre 2011
533. A part ça...
Je ne pensais jamais pouvoir dire ça un jour, mais Pénélope Jolicoeur et moi, on est carrément trop d'accord.