dimanche 18 mai 2008

97. A part ça...

Je déteste les cliffhangers à la fin des saisons. En particulier quand il s'agit de CSI Las Vegas. Et de Sara Sidle.

samedi 17 mai 2008

96. Il fait un temps bizarre, ici


Ca ne se voit pas sur la photo, mais il pleut des cordes...

mercredi 14 mai 2008

95. Dix signes que le printemps est là

- En terrasse, il y a aussi des non-fumeurs.

- En fin de journée, le tonnerre gronde et une brusque giboulée vous surprend, en manches courtes et sans parapluie.

- C'est la saison de la liberté pour les bébés, tout pâlots et rondouillards, hilares dans leur poussette, les doigts de pied en éventail.

- Les filles ont des sparadraps partout sur les pieds dans leurs sandales à lanières.

- Il n'y a plus besoin de couette, la nuit -- ou presque.

- On ne sait jamais jamais quoi mettre le matin.

- On scrute le moindre moineau de base, en espérant voir la première hirondelle. Qui, c'est pourtant bien connu, ne fait pas le printemps.

- Dans le métro, les gens sont marginalement moins énervés... au moins jusqu'en juillet, saison des grandes sueurs.

- Tout à coup, c'est le Festival de Cannes, Roland-Garros, le Tour de France...

- Le matin, j'ai déjà éternué trois fois avant même d'avoir ouvert les yeux.

lundi 12 mai 2008

94. Random facts: animal names

OK, so I know there are...
... flocks of sheep...
... schools of fish...
... swarms of bees...

But today I learnt that one can also say...
... a murder of crows...
... a knot of octopus (octopi ?)...
... an ostentation of peacock...

And I'm asking, what next ?

A giggle of schoolgirls ?
An officiousness of entrepreneurs ?
An iPod of teenagers ?

samedi 10 mai 2008

93. A room in the attic

Lying in the dark
I can hear
a faint buzzing

Possibly the ghost of the bee
I found dead this morning
on my pillow

samedi 3 mai 2008

92. Vive la Ventoline

Avec le printemps, mes allergies sont revenues ;
hier, j'ai fait une grosse crise d'asthme


Dans mon poumon droit
ronfle, gratte et crisse
une toute petite araignée

jeudi 1 mai 2008

91. -n-i, ni !

Ayé, la traduction du livre est terminée ! Relecture, correction et point final !

En fait, j'ai envoyé les textes il y a quelques heures déjà, mais à la fin la seule vue du clavier me donnait la nausée, il a fallu attendre un peu (et boire un coca).

Hm... un peu tristoune, moi -- et tout ça pour un livre sur l'économie américaine !

C'est toujours pareil, avec les longs projets -- on commence pleine d'enthousiasme, on prend le rythme de croisière, puis il y a le stress, les doutes, les soirées à travailler, les week-ends aussi, le rush de fin...

Et maintenant me voilà les mains vides.